CHRONIQUES HISTORIQUES, POLITIQUES ET SOCIALES
Daratt, saison sèche
Tchad 2006. Le gouvernement a accordé l’amnistie à tous les criminels de guerre. Atim, seize ans, reçoit un revolver des mains de son grand-père pour aller retrouver l’homme qui a tué son père. Il quitte son village et part pour la capitale, N’Djaména.
- Grand prix spécial du Jury au Festival de Venise 2006.
- Étalon de de bronze de Yennenga et Prix de la meilleure photo au FESPACO 2007 (Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou).
Un regard qui touche infiniment. Les Inrockuptibles.
Fable morale simple, Daratt puise
toute sa force dans sa mise en scène au cordeau, qui invente son
langage propre, et dans laquelle chaque plan, chaque mouvement de caméra
ramasse un canevas explosif d'enjeux personnels et historiques. Isabelle REGNIER, Le Monde.
Classicisme
du thème, celui de la vengeance. Mais il y a aussi les regards frontaux
et les gros plans sur des visages aux sourcils froncés. Quelque chose
comme Clint Eastwood dans un film de Sergio Leone, sans cigare ni
musique d'Ennio Morricone. Eric DEROBERT, Positif.
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